Amours fragiles - Tome 5 - Résistance
- Accueil
- Bande dessinée
- Catalogue
- BD ado-adultes
- Amours fragiles
- Amours fragiles
Amours fragiles
Tome 5 - Résistance
15,95 €
- Paru le 26/10/2011
Détails : 56 pages - 24.1 x 32.1 cm - Cartonné - Couleur - Album
- ISBN : 9782203012233 - EAN : 9782203012233
Ce livre est disponible dans d’autres formats
Genre : Histoire
Thèmes : Amour Nazisme Seconde Guerre mondiale
Printemps 1943, sud-est de la France.
Martin est revenu occuper son poste d’officier allemand après être allé enterrer son père en Allemagne. Très vite, il cherche à retrouver Katarina, devenue Catherine. Mais celle-ci a quitté les lieux pour Lyon, où elle a rejoint André-Louis, passé depuis peu dans la clandestinité. Tandis que Martin s’interroge sur son avenir – on soupçonne un général récemment arrivé de Berlin de vouloir réduire les effectifs de la Wehrmacht en France pour renforcer le front de l’Est –, Catherine saute le pas et décide de s’engager dans la Résistance… « 1932. L’Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence… C’est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvrais des sentiments inconnus jusqu’alors… Les choses auraient pu être simples, s’il n’y avait eu ma timidité et, surtout, l’arrivée des Nazis au pouvoir…»
Martin est revenu occuper son poste d’officier allemand après être allé enterrer son père en Allemagne. Très vite, il cherche à retrouver Katarina, devenue Catherine. Mais celle-ci a quitté les lieux pour Lyon, où elle a rejoint André-Louis, passé depuis peu dans la clandestinité. Tandis que Martin s’interroge sur son avenir – on soupçonne un général récemment arrivé de Berlin de vouloir réduire les effectifs de la Wehrmacht en France pour renforcer le front de l’Est –, Catherine saute le pas et décide de s’engager dans la Résistance… « 1932. L’Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence… C’est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvrais des sentiments inconnus jusqu’alors… Les choses auraient pu être simples, s’il n’y avait eu ma timidité et, surtout, l’arrivée des Nazis au pouvoir…»